LaCoupelle en Verre sur Pied | Décoration de table bapteme from en verre sur pied centre de table. Idéal pour les fleuristes et les professionnels de l'événementiel, le vase coupe est un contenant en verre très recherché pour décorer les tables de fête. Les coupes décoratives bruno evrard, de par leur forme et leur matière, s'adaptent à Coupeen verre 40cm - Collection LUTECIA. 49,00 € En stock. Ajouter au panier. SCARLA TAUPE Coupe sur pied - Collection SCARLA. 66,00 € En stock. Ajouter au panier. SCARLA BLANC Coupe sur pied - Collection SCARLA. 65,00 € En stock. Ajouter au panier. Centre de table en céramique 33cm - Collection CHIFO. 59,90 € En stock. Ajouter au panier. Coupe ANCIENNECOUPE EN Verre Taillé Montée Sur Pied En Métal-Centre De Table-N°147 - EUR 45,00. ZU VERKAUFEN! ANCIENNE COUPE EN VERRE TAILLÉ MONTÉE SUR PIED EN MÉTAL CENTRE DE 114472091620 Parcoureznotre sélection de verre de coupe verre de pied : vous y trouverez les meilleures pièces uniques ou personnalisées de nos boutiques. Centrede table Vase Coupe sur pied 10cm : Choisissez ce magnifique vase en forme de coupe sur pied comme centre de table de mariage, vous pourrez le décorez de nos bougies flottantes, fleurs, sables décoratif . Vay Nhanh Fast Money. Le 20 septembre 2017 s’est ouverte au Musée de Cluny l’exposition Le Verre, un Moyen Âge inventif » . La majorité des œuvres présentées sont évidemment des objets de verre, issus de fouilles archéologiques ou de collections muséales, mais la BnF a également contribué de façon significative en prêtant pour l’occasion une vingtaine de manuscrits et d’incunables dont les enluminures et gravures illustrent le contexte de l’usage des verres au Moyen Âge. Il n’est en effet pas toujours évident de déduire la fonction des pièces que l’on retrouve en fouilles d’après leur forme très peu décrite dans les archives et en cela les manuscrits et livres imprimés constituent une source d’informations précieuse. L’exposition met ainsi en regard les objets présentés et leur représentation figurée. Les ressources offertes par la BnF sont également très utiles pour étudier l’histoire du verre à une période plus tardive nous nous intéresserons ici plus particulièrement au XVIe siècle français, période qui suit immédiatement celle étudiée dans le cadre de l’exposition, et en l’occurrence au lien entre verre et service de la boisson. L’étude des verres spécialisés verrerie d’apothicaire, de médecine, objets insolites… fera l’objet d’un second billet. Verre et manières de table Le premier, et le plus évident, contexte d’utilisation de la verrerie au XVIe siècle est celui des arts de la table et du service de la boisson. La très grande majorité des verres de cette époque mis au jour lors de fouilles archéologiques parisiennes, comme celles de la cour Napoléon du Louvre, est constituée de verres à boire et de bouteilles1. La BnF conserve par ailleurs une estampe et deux dessins représentant des colporteurs de verres parisiens respectivement de la première et de la seconde moitié du XVIe siècle2, qui illustrent bien la nature de la marchandise la plus vendue à l’époque, celle-ci se compose essentiellement de verrerie de table gobelets, verres à pied, carafes et bouteilles. [Cris de Paris], gravure sur bois, première moitié du XVIe s. BnF, Arsenal, cote RESERVE EST-264 Habits de France. 1581 ? Dessins originaux du XVIe siècle. BnF, dép. des Estampes et de la photographie, cote RESERVE OA-39-4 [Verrier, 1586], dessin de Louis Boudan pour la collection de Roger de Gaignières 1642-1715. BnF, dép. des Estampes et de la photographie, cote RESERVE OA-17-FOL Le repas était, au XVIe siècle, un acte social important, du moins chez les plus aisés, et les manières de table étaient codifiées. Ces règles de bonne conduite étaient compilées dans des traités de civilité, dont l’un des plus connus est celui d’Érasme, De civilitate morum puerilium La Civilité puérile », publié en 1530. Il y consacre quelques lignes à la façon de bien boire ». Les recommandations qu’il formule dans son ouvrage attestent que l’usage du verre était courant à table. S’il est aujourd’hui d’usage que chaque convive possède son propre verre, ce n’était pas toujours le cas au XVIe siècle. Un même verre pouvait ainsi être partagé par deux ou trois commensaux voire par toute la tablée. Érasme conseille ainsi au lecteur avant de boire, achève de vider ta bouche et n’approche pas le verre de tes lèvres avant de les avoir essuyées avec ta serviette ou avec ton mouchoir, surtout si l’un des convives te présente son propre verre ou si tout le monde boit dans la même coupe ». À la fin du XVIe siècle, on perçoit une certaine évolution des manières de table et il devient plus courant que le nombre de verres égale le nombre de convives. Montaigne 1533-1592 laisse entendre dans ses Essais que lui-même préfère boire dans une coupe qui lui est propre mais suggère que cette habitude est plutôt un raffinement qu’une pratique répandue3. Pour ce qui est de la manière, l’iconographie du repas suggère que les verres étaient saisis par le pied4. Le verre n’était pas posé de façon permanente sur la table mais était apporté par des serviteurs à la demande des convives. Une fois le verre vidé, le serviteur le reposait sur une desserte, spécifiquement dédiée au service de la boisson, placée à l’écart de la table principale. Thomas Artus d’Embry décrit lui aussi dans son ouvrage satirique L’Isle des Hermaphrodites ce qui semble être le cérémonial de table dans les milieux aristocratiques, en soulignant, peut-être à outrance, les raffinements qui entourent ce véritable rituel “Outre le gentil-homme servant qui apportoit les verres et faisoit l’essay, il y en avoit encore deux autres qui apporterent les assiettes que j’avois veuës à la credence où estoit ceste neige et ceste glace, desquelles l’Hermaphrodite prenoit tantost de l’une et tantost de l’autre, selon qu’il luy en venoit la fantaisie, pour les mettre dans son vin à fin de le rendre plus froid ; apres il se remuoit un peu le corps et branlant la teste il prenoit le verre fort delicatement et beuvoit, et tandis qu’on luy tenoit une serviette soubs le menton de peur qu’il ne repandist quelque chose, puis il rendoit son verre au gentil-homme, qui faisant semblant de baiser sa main, le reportoit […] Une autre petite table estoit à costé [du buffet] où l’on mettoit les verres et quelques autres “ On trouvait parfois au pied des dressoirs des rafraîchissoirs à bouteilles. Cela est également rapporté par Thomas Artus d’Embry Au pied de ceste table, on voyoit une cuvette de cuivre pleine d’eau dans laquelle il y avoit plusieurs flacons et bouteilles ». Ces descriptions sont conformes à l’iconographie du repas du XVIe siècle, telle qu’elle est figurée, par exemple, sur la tapisserie de la tenture des “Fructus Belli” représentant le dîner du Général, conservée au musée national de la Renaissance d’Écouen. Giulio Romano d’après, Le dîner du général. Musée national de la Renaissance d’Écouen.© RMN-Grand Palais musée de la Renaissance, château d’Écouen / Jean-René Ojéda Pour le repas du roi, le rituel était encore davantage codifié bouteilles et verres sont placés sur une desserte, comme nous l’avons exposé, mais celui qui servait la boisson devait aussi être issu de la noblesse. Il se tenait debout derrière le monarque et attendait qu’il demande à boire. Le vin, avant d’être servi dans une coupe dorée ou un verre à pied en cristal », était goûté par le premier médecin du roi6. Verres d’usage et de prestige7 Les inventaires après décès parisiens du XVIe siècle ne mentionnent que rarement la présence de verre parmi les possessions des défunts et quand c’est le cas il ne s’agit la plupart du temps que d’une ou deux bouteilles couvertes d’osier qui ne servaient pas à conserver le vin mais juste à le transporter et à le servir à table. Les verres sont trop fragiles et bon marché pour être listés dans les inventaires le prix des objets inventoriés est systématiquement indiqué. La vaisselle du quotidien des Parisiens était principalement constituée de pièces en étain, matériau plus solide et donc plus durable et pratique que le verre. En revanche, les inventaires font souvent mention de verriers », c’est-à-dire un meuble destiné à ranger des verres8. Par ailleurs, les fouilles archéologiques menées à Paris quartier du Louvre, rue des Lombards… ont mis au jour des lots très importants de verres à boire du XVIe siècle9 et pas seulement dans des quartiers aisés. Les verres à boire faisaient donc bien partie du quotidien des Parisiens. La typologie de la vaisselle de verre d’usage commun était assez restreinte. Au XVe siècle et au début du XVIe siècle, le gobelet est la forme de verre à boire la plus répandue10, mais est progressivement concurrencée et remplacée par le verre à pied au cours du XVIe siècle. Les trois illustrations représentant des marchands de verres11 parisiens figurent bien la prédominance de cette forme de verre à boire dans la seconde moitié du XVIe siècle. Harleqion verrier recueil Fossard / artiste français du XVIIe siècle. BnF, dép. des Estampes et de la photographie. Les Parisiens les plus aisés pouvaient acquérir auprès des merciers et marchands de verres appelés marchands verriers » dans les archives de véritables services de table en verre dévolus aussi bien à la consommation de boissons que de mets solides. Il s’agit d’un certain raffinement comme le souligne une fois encore Montaigne qui écrit à propos de ses habitudes de table Moy je me laisse aller de mesme à certaine forme de verres, et ne boy pas volontiers en verre commun non plus que d’une main commune tout metail [métal] m’y deplaist au prix d’une matiere claire et transparante que mes yeux y tastent aussi selon leur capacité. Je dois plusieurs telles mollesses à l’usage. »12 Les gammes de formes, de couleurs et de décors de la vaisselle de verre de luxe » sont plus riches que pour les verres communs. La variété des formes de la verrerie de table était étroitement liée à la variété de l’alimentation aristocratique on trouve des assiettes, bouteilles, flacons, coupes à boire avec ou sans couvercle mais aussi tasses de l’italien tazza » ou coupe plate à boire ou à mettre confiture », drageoirs pour présenter les dragées » et autres sucreries servies en fin de repas13. Le terme confiture » renvoie d’ailleurs à l’époque à différents types de mets sucrés fruits confits appelés parfois confitures sèches », gelées, sirops… dont les recettes sont consignées dans des livres spécialisés dont le plus célèbre est rédigé par Michel de Nostre-dame – dit Nostradamus – publié à Lyon en 1555. Les verres les plus précieux venaient de Venise qui était devenue le centre verrier le plus important et réputé d’Europe en raison de l’inventivité et de la maîtrise technique des verriers installés sur l’île de Murano. Au milieu du XVe siècle, ces verriers mirent au point un type de verre très pur et transparent dont l’aspect s’apparente à celui du cristal de roche on en attribue l’invention à Angelo Barovier vers 1450-145514. D’où son nom de verre cristallo », qu’on trouve sous le terme de cristallin » dans les archives françaises. Le verre cristallo était employé pour souffler toutes sortes de formes qui étaient ensuite richement décorées à la feuille d’or et à l’émail. Les verriers vénitiens parviennent également à donner au verre l’aspect de la calcédoine vetro calcedonio », de la porcelaine vetro lattimo », à le décorer de filigranes complexes… mais ce sont surtout les verres cristallo dorés et émaillés qui rencontrèrent un grand succès dans toute l’Europe. Ce sont de véritables œuvres d’art parfois ornées des armoiries de leurs propriétaires15. Lors des repas aristocratiques, ces verres étaient à l’occasion exposés sur des dressoirs16 dans un but ostentatoire. Les dressoirs ou buffets sont des meubles surmontés de gradins recouverts d’un drap blanc sur lesquels étaient surtout présentés des plats d’orfèvrerie et d’argenterie mais on y trouve parfois aussi des verres précieux comme en témoignent deux tableaux représentant l’allégorie des sens peints par Jan Bruegel et Pierre Paul Rubens, conservés au Musée du Prado. Ces verres sont des objets de collection lorsqu’on en trouve dans les inventaires de l’époque, ils ne sont jamais comptabilisés avec la vaisselle d’étain ou de céramique, ni avec les instruments de cuisine. Les verres les plus précieux sont conservés dans des cabinets d’objets d’art comme le révèlent les inventaires aristocratiques de l’époque, à commencer par celui de Catherine de Médicis 158917 qui possédait près d’une centaine de verres. Ceux du connétable de Montmorency étaient quant à eux entreposés avec la vaisselle d’argent et les émaux de Limoges dans plusieurs cabinets de son hôtel parisien inventaire de 156018. Ces verres sont des pièces de prestige, rarement utilisées. Pour les grands banquets royaux, comme à l’occasion des fiançailles du futur François II et de Marie Tudor ou pour les funérailles d’Henri II 1559, on loue verres, bouteilles et carafes auprès de marchands verriers parisiens qui sont restitués après les festivités. Les verres destinés au service de la table sont les objets de verre les plus couramment utilisés et ils faisaient partie du quotidien des Parisiens du XVIe siècle. La vaisselle de verre n’avait pas qu’une fonction utilitaire, elle pouvait jouer un rôle dans la théâtralisation du repas aristocratique en étant exhibée sur des dressoirs avec d’autres pièces d’apparat. Les sources archivistiques et les fouilles archéologiques témoignent également de l’existence d’autres types de verres d’usage plus spécialisé, verres médicaux, verres d’apothicaire, d’alchimie… qui feront prochainement l’objet d’un développement particulier. Pour en savoir plus Retrouvez une sélection des manuscrits visibles dans l’exposition sur le carnet MANUSCRIPTA manuscrits médiévaux conservés à la BnF. Apprenez en plus en vidéo sur Le verre à Paris dans la seconde moitié du XVIe siècle. Citer ce billet Elise Vanriest, "Le verre à la Renaissance part. I verre et arts de la table," in L'Histoire à la BnF, 17/11/2017, [consulté le 23/08/2022]. Voir l’article de Jorge Barrera dédié à la verrerie parisienne dans le catalogue Aspects méconnus de la Renaissance en Île-de-France, exposition du Musée archéologique du Val-d’Oise du 23 avril 1998 au 3 janvier 1999 à Guiry-en-Vexin, éd. Somogy, 1998. Disponible sur Gallica intra-muros. [↩]Estampe des Cris de Paris, XVIe siècle, bibliothèque de l’Arsenal, estampe n°244 fol. 30 ; Dessin du recueil Habits de France, vers 1581, Oa. 39, fol. 36 et dessin, vers 1580, RESERVE OA-17-FOL qui est une copie du premier. Tous deux sont conservés au département des Estampes et de la photographie et appartiennent à la collection Gaignières. [↩]Michel de Montaigne, Essais, Livre III, chapitre XIII, p. 1132, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 2007 [↩]Thierry Crépin-Leblond, Pierre Ennès, Le Dressoir du prince services d’apparat à la Renaissance, 18 octobre 1995-19 février 1996, Musée national de la Renaissance, château d’Écouen, Paris, Réunion des musées nationaux, 1995. p. 14 ; Festins de la Renaissance cuisine et trésors de la table, [Catalogue de l’exposition du Château de Blois 7 juillet-21 octobre 2012], Paris Somogy, p. 114 [↩]Thomas Artus d’Embry, L’Isle des Hermaphrodites, éd. Claude-Gilbert Dubois, Genève, Droz, 1996, Textes littéraires français, n° 467, [↩]René Gandilhon évoque ce protocole dans son article Henri IV et le vin », dans Bibliothèque de l’École des chartes, t. 145, livraison 2, 1987, p. 392. Disponible sur Gallica intra-muros. [↩]J’emprunte l’expression au titre de l’ouvrage de Jacqueline Bellanger, Verre d’usage et de prestige France, 1500-1800, Paris, Ed. de l’Amateur, 1988. [↩]Voir Le Verre un Moyen Âge inventif, catalogue de l’exposition du musée de Cluny – musée national du Moyen Âge – 20 septembre 2017-8 janvier 2018, Paris éd. Réunion des musées nationaux, p. 176. À retrouver bientôt dans les collections de la BnF. [↩]Voir note 1. [↩]Voir Le Verre un Moyen Âge inventif, p. 170 et suivantes. [↩]Deux estampes de la BnF et l’ Harlequin verrier » du Recueil Fossard [↩]Michel de Montaigne, Essais, livre III, chapitre XIII, p. 1132. [↩]Festins de la Renaissance…, [↩]Luigi Zecchin, Vetro e vetrai di Murano studi sulla storia del vetro, Venezia, Arsenale ed, 1990, vol. 1 p. 229 et 238. [↩]C’est le cas du service » d’Anne de Bretagne dont certaines pièces sont conservées au Metropolitan Museum of Art de New-York, au Victoria & Albert Museum de Londres, au musée national de la Renaissance d’Écouen ou encore de la coupe de Catherine de Médicis, attribuée aux verriers vénitiens travaillant à la verrerie royale de Saint-Germain-en-Laye et conservée au musée national de la Renaissance. [↩]Le Dressoir du prince…, p. 26 [↩]Edmond Bonnaffé, Inventaire des meubles de Catherine de Médicis en 1589 mobilier, tableaux, objets d’arts, manuscrits, Paris, A. Aubry, 1874. [↩]Léon Mirot, L’Hôtel et les collections du Connétable de Montmorency, Paris, Bibliothèque de l’École des Chartes, 1919. [↩] Newsletter S'abonner à la newsletter et aux communications Saint-Louis. Vous acceptez de recevoir des informations relatives aux offres, services et évènements de la part de Saint-Louis. Vos données seront traitées conformément la Politique de Confidentialité. Idéal pour les fleuristes et les professionnels de l’événementiel, le vase coupe est un contenant en verre très recherché pour décorer les tables de fête. C’est d’ailleurs un centre de table mariage incontournable. Découvrez notre sélection de coupes pas chères sur Deco distrib'.Un vase multi-usages ou comment allier l’utile à l’esthétiquePrisés par toutes les générations, les vases coupes sont vos alliés pour apporter une touche intemporelle à votre décoration, tout en étant utiles ! On peut s’inspirer de ce qu’il y a dans notre jardin ou dans la nature pour le transformer en vase et végétaliser » notre environnement un peu de sable coloré, de pommes de pin, complétés par une grosse bougie, constitueront un chemin de table remarqué par vos convives. On peut aussi rendre le vase coupe utile et le combler de confiserie et de fruits de toutes les couleurs, mélanger les noisettes et les boules déco, etc… c’est le plus souvent la coupe en verre de forme basse et arrondie qui fera office de corne d’abondance » et qui ravira les enfants, petits et grands !Des coupes à remplir selon vos envies et selon les moments de l’annéeC’est assez facile de faire fonctionner notre imagination pour remplir les coupelles en verre selon les saisons, c’est l’occasion d’amener des touches de couleur dynamiques dans notre intérieur en choisissant des bonbons aussi beaux que bons des papillottes » et autres sucreries de Noël pendant les fêtes de fin d’année ou des œufs en chocolat recouverts de papier doré pour Pâques. Les formes simples de la coupe et la transparence du verre sont des atouts pour une décoration renouvelée et pas cher de la maison. On part du principe que le contenant est au service du contenu, et finalement, le plus difficile sera de ne pas manger trop vite les gourmandises mises en évidence de manière élégante dans ces coupes en verre !Pour les événements festifs, mariages, baptêmes, on préconise sans modération les vases coupes sur pied mettant en valeur des compositions florales ou des bougies flottantes avec une imposante légèreté et des formes simples. Ils s’invitent au centre de la table et font le show, indémodables et élégants. On peut aussi les admirer dans les candy bars » ou bars à bonbons. Ou alors il trônera seul sur une étagère, majestueux, apportant une touche perso à une entrée. Vous l’aurez compris, les vases coupes s’adaptent à tous les environnements et tous les styles, ils donnent le ton mais on les apprécie avant tout pour leur côté pratique et multi-usages ! WMF Geislingen Centre de table avec insert en verreDébut du 20e siècle, estampillé marque du bouquet I/O OX, numéro de modèle 552, laiton argenté, intérieur doré, inscription sur le pourtour "Till Herman på 60 årsdagen 19 7/7 27 av musikvänner" en suédois "A Till Hermann à l'occasion de son 60e anniversaire par les amis de la musique", pied oscillant sur quatre pieds sphériques pressés, sur lesquels sont posées des colonnes avec un décor sobre de cannelures, sur lesquelles est posée une coupe ronde avec des bosses en répétition, celles-ci dorées à l'intérieur, Coupelle amovible en verre transparent avec pied rétracté, étoile de fond taillée, ornements stylisés et végétaux taillés en entaille et en olive sur tout le pourtour, bord incurvé et taillé en dentelle, celui-ci avec de petites imperfections et une petite puce 2 mm, légères traces d'âge et d'utilisation, H total env. 18,6 cm. L’été approche et avec lui, la saison des buffets… L’occasion ou jamais de jouer les grands effets, avec une déco à thème et des tables bien présentées ! Organiser petits plats et gourmandises à picorer peut, parfois, tourner au drame. Et l’organisation parfaite du buffet ne suffit pas à compenser, si le thème de la déco n’est pas choisi à l’avance… La solution ? On fait l’inventaire des placards ou de nos envies, pour décider du thème de l’année. Moderne ou girly, chic ou champêtre, 100% miniatures ou totalement piqué… Avant tout, on choisit la dominante, qu’il s’agisse de la taille des portions, des contenants à utiliser ou du style de la nappe. Ne reste, ensuite, qu’à rassembler les idées pour coller à l’ambiance. Et ce, sans gros budget, grâce aux astuces système D et au contenu des armoires. Cette année, le buffet restera dans les mémoires et sur les palais, foi de CuisineAZ ! Plus d’idées de buffet ? Parcourez nos 15 amuse-bouches craquants pour buffet estival, 15 feuilletés gourmets pour buffet d’été, 15 toasts à croquer pour buffet ensoleillé, et nos 15 desserts gourmands pour buffet bien frais ! 1/10 Mon buffet chic Vous rêvez d’un buffet aussi habillé que votre tenue de soirée, convivial mais élégant et fidèle à l’étiquette ? Picorer avec classe, c’est facile ! Couvrez les tables de nappes blanches jusqu’au sol, en misant sur les effets de matière plissés, satinés, cotons immaculés… Pas de grande nappe blanche ? Recyclez les draps de coton monogrammés ! Au besoin, superposez deux nappes, en jouant sur les longueurs tant que les pieds de table sont cachés, détail qui fait d’une table de buffet une vraie table à dîner. Côté présentation, foncez sur les merveilles du vaisselier... Argenterie, faïences et verreries, transformez les plateaux de fromage à l’ancienne en présentoirs à macarons, les soupières décorées en bols à punch. Accumulez le verre en bonbonnières, plateaux et verrines, rangez les couverts dans un vase bas et empilez les assiettes ouvragées, sans oublier les serviettes brodées, voire une sculpture ou un tableau en fond. Un buffet plein d’effet, mais fragile… à réserver aux adultes ! 2/10 Mon buffet miniature Vous imaginez un buffet de miniatures, et exclusivement de miniatures ? Osez, et assumez le grignotage façon lilliputiens ! Un buffet qui sort du lot tout en surfant sur la tendance, rien de plus simple, tant la miniature est à la mode. Cuisinez les recettes en quantités, il vous suffira de les présenter en bouchées avec ce que contient le vaisselier. Mini cocottes ou ramequins, cuillères à soupe, verres et verrines, toasts découpés ou tartelettes précuites, bols à sauce… Le secret de la miniature ? L’accumulation. Mélangez sans scrupules les contenants, les contenus et les formats, en les regroupant par assiettes ou plateaux. Pour les présenter sur la table, variez les niveaux, en utilisant des plateaux sur pied, des étagères miniatures ou des seaux retournés. Ajoutez des cuillères à café et piques à petits fours un peu partout, dans de petits verres à moutarde. Encore plus fort ? Remplacez la table par une multitude de petites tables dépareillées, effet branché garanti ! 3/10 Mon buffet champêtre Vous aimeriez un buffet écolo, pieds nus dans l’herbe et sous le soleil ? Place au bois patinés et carreaux à l’ancienne, pour un repas qui ne s’oublie pas ! Le buffet champêtre adore la bonne franquette, et c’est tant mieux. Oubliez les miniatures élaborées, préférez les grands plats, saladiers généreux et marmites posées sur les tables… en bois, bien sûr. Le détail bobo ? De vieilles planches patinées ou même des portes, posées sur des tréteaux, avec des étiquettes manuscrites devant chaque plat pour en indiquer le nom. Si vous préférez les nappes, amusez-vous avec les tissus à carreaux façon pique-nique. Choisissez une vaisselle toute simple, ou effet bois pour les plus exigeantes. Glissez les couverts dans des bocaux, osez les piles de serviettes en tissu ou papier, mais dépareillées, et présentez les sauces dans des bols champêtres. Accompagnez l’ensemble de bancs en bois ou d’un mélange de chaises hétéroclites, prévoyez un parasol rayé la journée et quelques lampions pour le soir, c’est fait ! 4/10 Mon buffet moderne Vous préférez votre buffet contemporain, moderne et branché ? Tranchez avec des choix osés pour un pique-nique réinventé ! Métamorphoser le buffet en œuvre d’art n’a rien de bien compliqué. Un mot d’ordre graphique ! Optez pour des plats épurés, aux formes géométriques. Jouez le monochrome avec une décoration entièrement blanche, où seuls ressortent les ingrédients… ou misez sur une présentation à la Mondrian, en noir et blanc avec des plats de couleurs franches, rouges, jaunes et bleus. Autre option ? L’accumulation ! Alignez les assiettes blanches et carrées sur les tables jusqu’à former un tableau géométrique, puis remplissez. Côté table, utilisez des planches peintes de même couleur, ou mieux, des plaques de verre sur des tréteaux… sans nappe, pour l’effet contemporain. Quant aux couverts, le plastique transparent ou argenté imite sans mal verre et métal, à moins d’oser le mélange noir et blanc ! Quelques assiettes en verre pour le service, une pile de serviettes en papier, c’est prêt. 5/10 Mon buffet piqué Votre buffet, vous le voulez thématique et ludique, en brochettes de fête ? Exploitez le concept et présentez tout, absolument tout, en piqué ! Piques à petits fours, piques à brochettes, piques à grillades… mais aussi fourchettes, bâtonnets de sucette et baguettes, tout ce qui se plante peut vous servir. Évitez les recettes liquides ou trop molles, misez sur les crudités, fruits, fromages, boulettes, biscuits, bonbons, sucettes, popcakes, etc. En dés, en boules ou en rondelles, superposez les couleurs et plantez sans hésiter, avant d’aligner les bouchées ! Déposez les brochettes sur des assiettes, piquez les sucettes dans des melons, pastèques ou cônes de polystyrène. Et pour décorer, plantez ! Intercalez entre les sucettes quelques fleurs piquées ou des moulins à vent, décorez les piques des petits fours avec des bonbons ou des étiquettes… Remplacez les couverts par des baguettes, et prévoyez des serviettes en papier miniatures, mais en quantité. Avec des assiettes, et des verres piqués de parasols ! 6/10 Mon buffet régressif Vous fantasmez sur un buffet façon goûter, tout en couleurs et bonne humeur ? Grands et petits ne se priveront pas d’en profiter ! Pas question de laisser aux enfants les plaisirs régressifs, un lot de nappes bariolées suffit à les lancer. Mélangez les motifs et aspergez de confettis, paillettes et gommettes, de rubans colorés et de fleurs en papier. Quelques lumignons pour le soir, des recettes de sucettes salées, du pop-corn, des biscuits nappés… à vous de jouer ! Et pour la vaisselle ? Bonne nouvelle, les rayons des supermarchés regorgent d’accessoires en plastique et carton à pois ou à rayures. Encore une fois, mélangez, tant que les couleurs explosent. Et pour assumer jusqu’au bout, recyclez, aussi bien pour la présentation que pour la décoration ! Arrangez les couverts dans un seau en plastique rouge, présentez les petits fours sur des assiettes à dînette, plantez les sucettes dans des verres de sucre coloré, accrochez quelques ballons aux coins de la table et surtout, faites participer les enfants… 7/10 Mon buffet girly Envie d’un buffet de fille, bourré de clichés 100% assumés, pour picorer entre copines ? Misez tout sur le rose et les recettes délicates ! Une bonne dose de macarons, quelques sucettes, une belle rangée de verrines et de la crème fouettée à la pelle… Le buffet girly compte sur des recettes aussi mignonnes que pratiques, à décliner en mille tons de roses, parme ou prune. Les spécialistes de la couleur girly ? Betterave, grenade, fruits rouges, tomate ou colorants alimentaires ! Côté décor, jouez la surenchère en nappes roses ou tempérez l’ambiance avec du blanc. Ornez les tables de bouquets à profusion, empilez les assiettes à fleurs, serviettes colorées et délicats verres à pied, puis complétez de petites attentions... Cadeaux miniatures, petits mots, défis ou devinettes, bonbons ou pétales parsemés ? Adaptez le degré à l’assistance, mais dans tous les cas, ne faites pas l’impasse sur le chocolat ! 8/10 Mon buffet du monde Le buffet, vous l’envisagez comme un voyage, mondial et curieux ? Variez les origines et les recettes pour une table qui dépayse ! Des tapas aux sushis, le monde a mille idées pour picorer à sa façon. Une condition, rassemblez-les par origine pour une meilleure lisibilité, puis étiquetez-les une table pour l’Asie, une table pour l’Amérique, et ainsi de suite. Ajoutez un drapeau sur chaque plateau, et laissez les invités s’amuser à les identifier ! Tant qu’à oser, travaillez le décor avec un globe entre les assiettes ou une carte du monde en guise de nappe. Présentez par assiettes ou plateaux sur la table Asie, un plateau Japon, une assiette Thaïlande, des baguettes et des serviettes… Et sur chaque table, un assortiment de sauces colorées en petits bols, étiquetées pour plus de clarté ! Quant au reste du décor ? Côté pile, jouez la sobriété en blanc neutre, côté face, choisissez un code couleur par table. 9/10 Mon buffet classique Vous aimez les buffets classiques, ni modernes, ni à l’ancienne ? Copiez les trucs du traiteur et jouez l’intemporel, la table ne s’en lasse pas. Nappe blanche, assiettes blanches, serviettes banches, en tissu plutôt qu’en papier le buffet classique mise sur la qualité. Sur chaque table, variez les niveaux de présentation, avec un seau ou une coupe retournés. Gardez les plats au chaud avec des chauffe-plats, et mieux, prévoyez des chauffe-assiettes ! Pour un buffet dans les règles de l’art, rassemblez toute la vaisselle sur une table unique au début du buffet, plutôt que de la disperser entre les plats. Rassemblez également les recettes par plat ou assiette, en organisant une progression logique, des entrées jusqu’aux desserts, et prévoyez une pince ou une cuillère dans chaque plat. Quant à les présenter, travaillez leur disposition en éventail, déposez-les sur un lit de salade et décorez de graines et d’herbes ! 10/10 Mon buffet rétro Votre buffet, vous le souhaitez façon grand-mère, en ode aux traditions ? Filez chez Mamie et videz les placards pour une table à l’ancienne ! Mi-rétro, mi-romantique, le buffet de grand-mère recycle dentelle, crochet et cotons empesés. Couvrez les tables de nappes, puis de napperons, en mélangeant formes, couleurs et motifs pour les moderniser. Complétez le décor de guéridons, de chariots roulants ou de toute autre merveille de grand-mère ! Même mot d’ordre côté vaisselle si vous avez la chance de dénicher un présentoir à étages, faites-en la star de la table. Dans le cas contraire, trichez avec les modèles vendus dans les grandes enseignes de déco… Utilisez des plateaux en métal ou en bois à l’ancienne, des vases à fleurs pour les couverts, ornez la table de bougeoirs et d’assiettes dépareillées. Quant aux recettes, misez sur les classiques de mamie ou les décors romantiques, à finir à la poche à douille ! VOUS ALLEZ AIMER Candidats de Top Chef 2022 qui sont-ils ? 15 recettes parfaites à déguster devant l’Euro ! 15 quiches et tartes version incontournables 15 recettes rapides et faciles pour le soir + de contenu actualité chaude

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